1927 - L'aurore - F. W. Murnau
Ce film magnifique, considéré par certains comme
le meilleur film du monde, François Truffaut notamment, et nombreux de
ses camarades de la Nouvel Vague, qui l'encensèrent à l'unisson, il
marque pour le réalisateur son entrée aux Etats-Unis, lui qui venait du
cinéma allemand, et qui avait donné ses lettres de noblesse à
l'expressionnisme, tout en s'y démarquant cependant (à voir son
Tartuffe (1924) et Le dernier des hommes (1922) notamment)
Ce film c'est une histoire sur le couple, sur la relation, sur un pays, partagé entre campagne et ville, et où les modes de pensée sont foncièrement différents. Incarné superbement par George O' Brien (qui joua surtout dans des westerns), l'homme est en proie avec le mal, incarnée par Margaret Livingston et le bien, surtout la douceur, incarnée par Janet Gaynor, qui remporta l'Oscar de la meilleure actrice, qui vient s'ajouter à ceux de la photographie, et de la meilleure valeur artistique (ce fut la seule fois que ce prix fut attribué, il n'existe plus)
Voilà, Sunrise en anglais, est une invitation au réveil. Chacun de nous doit se dire, dès son réveil qu'il a un jour vu L'Aurore.
Ce film c'est une histoire sur le couple, sur la relation, sur un pays, partagé entre campagne et ville, et où les modes de pensée sont foncièrement différents. Incarné superbement par George O' Brien (qui joua surtout dans des westerns), l'homme est en proie avec le mal, incarnée par Margaret Livingston et le bien, surtout la douceur, incarnée par Janet Gaynor, qui remporta l'Oscar de la meilleure actrice, qui vient s'ajouter à ceux de la photographie, et de la meilleure valeur artistique (ce fut la seule fois que ce prix fut attribué, il n'existe plus)
Voilà, Sunrise en anglais, est une invitation au réveil. Chacun de nous doit se dire, dès son réveil qu'il a un jour vu L'Aurore.